Le président de la Région Réunion évoque le NRL Tour en cours ce dimanche et l’avancée du chantier de la Nouvelle Route du Littoral.
Didier Robert, président de la Région Réunion, s’exprime dans le cadre des visites du chantier de la Nouvelle Route du Littoral.
"Sur un chantier aussi important aussi sur le plan technologique et technique. Nous avons fait en sorte que les Réunionnais qui le souhaitent puissent voir comment ce chantier a été mis en oeuvre."
"Lorsque nous avons lancé cette initiative, il y avait 4000 personnes qui voulaient effectuer cette visite. Ils seront 1000 aujourd’hui à voir ce qu’il se passe sur ce chantier. Compte tenu de cet engouement, nous allons organiser à partir de 2018 des visites de ce type avec les scolaires pour qu’ils puissent s’approprier cet ouvrage qui est exceptionnel à l’échelle de La Réunion."
"Il n’y a pas 250 millions d’euros supplémentaires que nous allons demander mardi. Lorsque nous engageons un chantier de cette importance, il y a ce qui est prévu au marché donc à peu près l’équivalent de 1,7 milliard d’euros. Et nous avons obligation de prévoir des provisions dans l’hypothèse d’aléas dont nous ne connaîtrons pas aujourd’hui les circonstances. À titre d’exemple, lorsque nous avons dû chercher des andins, cela a emmène obligatoirement des surcoûts.
"Il ne s’agit pas de dépenses certaines à ce moment. Nous avons l’engagement de travailler pour maintenir l’enveloppe budgétaire et fournir cette route dans la plus grande sécurité et le plus rapidement possible."
"Nous sommes encore une fois sur une enveloppe qui est stabilisée. La manière dont nous avons obtenu les financements avec l’Etat à moitié, avec l’Europe à hauteur de 150 millions. Tout est sous contrôle et nous n’avons pas à demander aux Réunionnais une contribution supplémentaire."
"Il y a bien plus de roches que nécessaire à La Réunion si tout le monde acceptait d’appliquer la loi comme il se doit. Toutes les procédures administratives ont été faites et ont été respectées sur le plan environnemental et technique pour que lors de l’exploitation de cette carrière il y ait le moins d’impact possible. J’aime La Réunion et nous ferons attention."