Le maire de Sainte-Suzanne, Maurice Gironcel, est l’invité du Journal Télévisé d’Antenne Réunion au soir du premier congrès du PCR depuis la disparition de Paul Vergès.
Maurice Gironcel, maire de Sainte-Suzanne, est l’invité du Journal Télévisé d’Antenne Réunion. Il s’exprime au sujet du congrès du PCR (Parti communiste réunionnais) et des présidentielles.
"Je crois que ce que Paul Vergès nous a laissé comme valeurs idéologiques et comme la fierté d’être Réunionnais, nous, les communistes que nous sommes, nous allons continuer ce combat qu’il a mené. Nous avons réussi un congrès enthousiaste."
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"Nous allons envoyer nos orientations aux candidats sauf à une. Car elle n’incarne pas les valeurs démocratiques que nous incarnons. Nous allons envoyer les textes que nous avons adopté au Congrès."
"Nous avons vu des hommes et femmes politiques qui se sont exprimées et qui se sont dits pour l’émancipation de La Réunion ou que le statut actuel ne permet pas le développement solidaire et durable."
"Il y a quelques jours de cela, on avait dit qu’on savait qui allait gagner. Aujourd’hui, ce n’est pas pareil. On a fait une primaire à Gauche pour Valls. Il n’a pas gagné. Aujourd’hui, dire qui va gagner, c’est difficile."
"Je crois que dans ce débat, aujourd’hui, ce que je trouve excessif, c’est les salaires. Je pense que demander aux élus de voter contre le fait d’employer quelqu’un de son entourage, c’est de l’hypocrisie."
