André Yché, président du Directoire du Groupe CDC habitat, principal actionnaire de la SIDR, va présenter le projet de développement du bailleur social à La Réunion.
André Yché, président du Directoire du Groupe CDC habitat, principal actionnaire de la SIDR.
"Le plan de développement a été préparé de longue date. Ma présence aujourd’hui dans l’île et de nouer les contacts nécessaires avec les principaux décideurs locaux notamment avec les grands élus des grandes collectivités territoriales de la manière dont nous pourrons utilement déployer le potentiel de la SIDR adossé à la CDC pour développer un plus grand nombre de projets dans l’intérêt des Réunionnais."
"Il y a une série d’opérations qui peuvent être réalisées comme habituellement qui portent sur des programmes d’une cinquantaine ou soixantaine de logements. Il y a également de grandes opérations structurantes et je pense notamment au développement futur de l’écocité de Cambaie."
"Ce genre d’opérations de taille exceptionnelle nécessite la mise en place d’un dispositif particulier parce que l’intérêt et les risques sont plus importants. Par exemple, le risque de mettre en oeuvre des tranches d’aménagement excessivement importante qui peuvent ne pas trouver un débouché aussi rapidement que souhaitable, le risque de réaliser des offres de logements qui ne correspondent pas à la réalité de la demande."
"La SIDR se portera en avant lorsqu’une opération d’intérêt général sera lancée, elle pourra réaliser de la croissance externe ou acquérir des patrimoines. Le logement social est en cours de restructuration."
"Il n’est pas prévu de faire de plan social. Il est nécessaire au fil du temps d’adapter les organisations, les métiers et les profils des personnels qui concourrent à la satisfaction de la besoin des clients. Il s’agit d’adapter les effectifs aux besoins. Les perspectives de développement que nous proposons met en évidence le potentiel de développement de la SIDR. Il faut que le dialogue soit restauré entre la direction et les salariés pour lever les doutes."
"Il ne s’agit pas de discuter d’une démission. Il s’agit d’écouter les questions et d’y répondre. Le destin des dirigeants de la SIDR ne dépend pas du dialogue social conduit actuellement."
"Il faut étudier la situation du patrimoine et évaluer les modalités d’une transaction. Nous avons des contacts avec beaucoup d’opérateurs et Apavou en fait partie."