Dans les colonnes du Point, le fils du président de la République sur l’affaire du tweet. Il estime que le message de Valérie Trierweiler « a détruit l’image normale » de son père.
À la demande de son père, Thomas Hollande était resté silencieux suite à l’affaire du tweet de la première Dame de France à Olivier Falorni, adversaire de Ségolène Royal aux législatives à La Rochelle. Il avait préféré garder le silence pour ne « pas alimenter le feuilleton ».
Mais le fils aîné du chef de l’État, semble ne pas avoir digéré le tweet de soutien de Valérie Trierweiler. Dans les colonnes du Point, le jeune avocat de 27 ans confie son amertume : « Ce que je reproche au tweet, c’est d’avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique". « Ça m’a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l’on parle de sa vie privée. Ça a détruit l’image normale qu’il avait construite », ajoute-t-il.
Toujours selon le journal Le Point, Thomas Hollande ne veut plus voir Valérie Trierweiler. Son frère et ses soeurs non plus. "C’est logique, non ? Et puis, ce qui compte, c’est qu’on normalise les relations avec notre père."
Thomas a reçu de son père la promesse qu’il s’exprimerait sur le tweet et clarifierait le rôle de la première dame, sans doute le 14 juillet. "C’est un facteur d’instabilité... Soit elle est journaliste, soit elle a un cabinet à l’Élysée", tranche Thomas Hollande - qui supplie : "Et surtout pas de deuxième tweet !" .
Mais suite à la publication de cet article du Point, le jeune homme assure que ses propos ont été « déformés » et sortis de leur contexte suite à une conversation informelle.
Source : Le Point