Les élections législatives représentent une occasion rêvée pour certains candidats et certains partis de se faire remarquer. Entre le côté drôle de certains et l’aspect fantaisiste des autres, découvrez ces candidatures et ces partis qui se démarquent des autres.
Cette année, 7 881 candidats répartis dans les 577 circonscriptions se présentent pour les
élections législatives. Certaines personnalités ont des profils qui se détachent du lot par leur patronyme. Certains partis atypiques ont également fait leur apparition.
Des candidats qui ne passent pas inaperçus
Le Parisien a relevé ces candidatures insolites comme celle de Sylvie Charrière, candidate de la République en marche dans la 8e circonscription de Seine-Saint-Denis. Son patronyme En Marche Charrière ! a fait le buzz. Le couple Franco-Lallemand, cette alliance de Jean-Charles Lallemand, candidat de la France insoumise dans la 7e circonscription de Paris, et d’Hélène Franco, sa suppléante interpelle plus d’un. Au plus grand des hasards, Catherine Deneuve est candidate du Parti animaliste à Rochefort, dans la 2e circonscription de Charente-Maritime. Représentante du Parti du Plaisir dans la 7e circonscription de Paris, Isabelle Laeng, plus connue sous le nom de Cindy Lee n’en est pas à sa première campagne. Cette ancienne strip-teaseuse défend l’épanouissement sexuel, le bien-être de l’individu et la protection des animaux.
Des partis qui se démarquent des autres
Si les grands partis tentent de s’imposer, les micro-partis veulent se faire connaître durant les élections législatives. Parmi eux, le Parti animaliste lancé fin 2016 recense 147 candidats au total. Cette formation milite pour la défense des animaux, en luttant contre la maltraitance des bêtes. Allons enfants, le parti des moins de 25 ans fait ses premiers pas électoraux comme le précédent. Les membres de cette formation se disent "ni de gauche, ni de droite, mais un peu des deux". Le quotidien a également cité le Parti pirate lancé en 2006 pour défendre "le partage de la culture et de l’information". Parmi les partis atypiques figure aussi l’Alliance royale, pour "sortir du sortilège républicain".