Le jeudi 15 septembre, un premier cas de variole du singe a été confirmé en Ukraine chez un homme hospitalisé, a fait savoir le ministère de la Santé.
Le patient souffre de fièvre et d’une éruption cutanée, a précisé le ministère sur Facebook sans donner d’autres détails. Cette infection a été confirmée par un test PCR. Une enquête épidémiologique a été ouverte, et les premiers éléments indiquent que le malade aurait contracté la variole du singe "dans une des grandes villes" de l’Ukraine.
Le tableau de bord de l’OMS, qui liste tous les cas confirmés du Monkeypox, révèle qu’au 7 septembre, 54 709 cas et 18 décès enregistrés dans 125 pays dont 98% en Amérique du Nord et sur le continent Européen, rapportent les médias français comme Le Figaro.
Pour rappel, la variole du singe se manifeste en premier lieu par une forte fièvre, évoluant ensuite en éruption cutanée. D’habitude, le Monkeypox guérit spontanément après 2 à 3 semaines. Cela dit, la maladie peut engendrer des complications graves, comme des infections bactériennes.
> Notre dossier sur la variole du singe