Jean-Albert Rollin qui s’est rendu à plusieurs Coupe du Monde évoque les souvenirs du Mondial 98.
Jean-Albert Rollin revient sur la Coupe du Monde 1998 remportée par l’équipe de France.
"J’étais au Barachois. Je l’ai vécu au Barachois. C’était super. Il y avait une ambiance du tonnerre."
"À chaque fois que j’entends cette musique, j’y pense. On était déjà passé une fois à côté une fois en Espagne. Cette fois, on touchait le graal. C’était une joyeux immense. Quand on aime le foot, on ne peut être que joyeux."
"Le premier match était à Marseille contre l’Afrique du Sud. On avait pas été terrible. On avait gagné mais avec des soucis, le stress."
"Vivre une Coupe du Monde sur place n’a rien de comparable à la télévision. Dans le stade, c’est l’ambiance, les gens qu’on ne connaît pas, les rencontres qu’on peut faire. C’est quelque chose qu’il faut vivre. Le vivre dans son propre pays, ça vous marque une vie."
"Lorsqu’on les a rencontré, c’était très bien. Cela ne peut pas se vivre à la télévision."
"Pour partir à une Coupe du Monde, c’est un vrai budget. J’ai fait le choix de partir pour les premiers tours jusqu’au quart. Sauf l’Afrique du Sud où je suis resté jusqu’en final."
"Il faut avoir les billets, il faut avoir un budget pour le déplacement."
"La présence de Dimitri Payet en équipe de France, serait la raison qui me mènerait à partir en Russie."