ERIC DESSONS / JDD/SIPA
Le 13 août dernier, Gérald Darmanin, actuel ministre de l’Intérieur, a partagé ses aspirations en vue de l’élection présidentielle de 2027.
En prévision de l’élection présidentielle de 2027, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a exprimé sa préoccupation quant à l’avenir. Dans une interview accordée au Figaro, il a fait part de ses ambitions le dimanche 13 août, à moins de deux semaines de sa rentrée politique prévue à Tourcoing (Nord), où il mettra en avant les préoccupations des "classes populaires".
Dans des propos relayés par d’autres médias français comme CNews, le locataire de Beauvau dit : "ce qui m’intéresse, ce n’est plus de regarder ce qu’il s’est passé en 2017 et 2022. Ce qui m’inquiète maintenant, c’est ce qui se passera en 2027". Gérald Darmanin analyse : "j’ai été plutôt minoritaire pour l’instant sur l’importance de la question sociale mais j’espère que la boussole populaire que je propose sera un jour totalement entendue par la majorité".
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Il prévient aussi sur le ’risque’ que si le candidat de la majorité présidentielle s’en remet "aux jurisprudences et aux marchés internationaux, alors il actera que la volonté politique n’est plus que chez les extrêmes". "On perdra l’élection et Marine Le Pen sera élue", d’après le ministre de l’Intérieur.
Quelque 400 personnes, incluant environ 100 parlementaires, sont attendues à sa prochaine assemblée politique de rentrée qui se tiendra dans sa région natale, Tourcoing, le 27 août prochain.
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