Vendredi 6 mai, le régiment ukrainien Azov, qui défend le complexe sidérurgique dans lequel sont retranchés les derniers combattants ukrainiens de Marioupol, a accusé les militaires russes d’avoir visé une de ses voitures de l’opération d’évacuation de civils. Les Ukrainiens estiment une fois de plus que Moscou n’a pas tenu sa promesse de trêve.