Ce changement dans le contrôle technique de votre voiture aura également un impact sur votre porte-monnaie.
Le nouveau contrôle technique des véhicules qui est entré en vigueur dimanche est plus précis avec 132 points à vérifier contre 123 auparavant. Zoom sur ce qu’il faut savoir
Le propriétaire du véhicule n’est pas obligé de retourner immédiatement au garage si seules des défaillances dites "mineures" ont été signalées.
Le véhicule sera obligatoirement immobilisé dans 127 cas bien précis dits "défaillance majeure". Ce sera le cas lorsque les défaillances sont susceptibles de compromettre la sécurité du véhicule ou encore de présenter des effets néfastes pour l’environnement. Le véhicule ne sera pas immobilisé si les réparations peuvent être faites dans les 24h.
Lorsque les anomalies constituent un danger direct et immédiat, le contrôleur fait état de défaillances critiques. Dans ce cas, le véhicule se verra apposer une vignette spéciale, lui interdisant de rouler après minuit le jour du contrôle. Le conducteur devra passer une contre-visite, après réparation, et ce dans les deux mois.
Après réparation, en cas de défaillance majeure ou critique, le véhicule doit repasser la visite. Cette contre-visite est payante avec une hausse de 20 et 30 euros mais le délai reste le même. L’automobiliste dispose toujours de 2 mois pour présenter de nouveau son véhicule dans un centre.