La militante féministe a fini par quitter les réseaux sociaux après avoir été la cible d’une "vague de haine et de harcèlement" pendant plusieurs jours.
Caroline De Haas a annoncé, lundi 26 février, quitter les réseaux sociaux "pour un temps indéterminé". Un départ en lien avec une "vague de haine et de harcèlement" dont elle était victime. La militante féministe a tenu à expliquer l’origine du déferlement de haine à son encontre. Ceci est relatif à une interview d’elle qui a été publiée dans L’Obs du 15-21 février. Une entrevue dont le titre est "un homme sur deux ou trois est un agresseur".
Le 15 février dernier sur twitter, Caroline De Haas a pris la précaution d’apporter des précisions quant au titre de son interview. Elle a tenu à mettre le titre dans son contexte en précisant : "si une femme sur deux est victime, combien d’agresseurs nous entourent ? Est-ce un homme sur deux ? Un homme sur trois ? Je n’en sais rien. Je sais juste que c’est beaucoup".
Mais malgré ses explications, les attaques et les insultes des internautes contre elle déferlaient. La militante féministe a avoué être "fatiguée de ces violences" sur les réseaux sociaux. Elle est "fatiguée de ces espaces sur lesquels des agresseurs, par milliers, (la) harcèlent et (l)’insultent en toute impunité" a-t-elle indiqué.
(Source : lefigaro.fr)
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