Le vote du Sénat a permis de tirer l’affaire de la Réforme Pénale au clair. En effet, cette dernière a été adoptée par le parlement.
L’adoption définitive de la réforme pénale que la ministre de la Justice Christiane Taubira a proposée, est actuellement mise en place. L’amendement consistait surtout à une peine sans forcément recourir à l’emprisonnement. On la nomme la contrainte pénale. Une loi qui vise à l’amélioration des décisions de Justice par rapport aux cas épineux qui ne requièrent pas forcément la peine d’emprisonnement.
Le parti de gauche est celui qui a le plus soutenu ce projet de loi. D’après eux, cette « individualisation des peines ainsi que le renforcement de l’efficacité des sanctions pénales. » est une solution primordiale. Un amendement que les sénateurs UMP ont bien évidemment contré, à l’exception de Jean-René Lecerf qui a voté en faveur de cette loi. Selon les représentants de l’extrême droite à l’Assemblée, cette réforme est tout à fait idéologique mais surtout dangereuse. Pour eux, ce texte serait un symbole de relâchement et sera interprété comme tel par les délinquants.
Les centristes ont également choisi de voter par la négative mais n’ont pas obtenu gain de cause. Pour rappel, le but du texte est d’éviter les sorties directes de prison avec aucune mesure d’accompagnement. Les entrées excessives sont également prises en compte. Retravaillé plusieurs fois, le texte du projet de loi a eu plusieurs obstacles avant son accomplissement.