Baptisée JMRA, la formule de Jean Giuliano Nicol Ramarovahiny censée guérir le VIH/Sida a passé avec brio une batterie de tests effectués en Afrique du Sud.
Selon le phytothérapeute à l’origine de cette découverte, la formule JMRA a été déclarée apte à guérir le VIH sous-type B et le VIH sous-type C à la suite de tests in vitro effectués dans le laboratoire sud-africain du Conseil pour la Recherche Scientifique et Industrielle (CSIR). Le premier sous-type est celui qui fait des ravages en Afrique tandis que le second est celui répandu dans le reste du monde.
La découverte controversée de Ramarovahiny a ainsi franchi un nouveau palier d’autant plus que le CSIR est la plus grande organisation de recherche et développement en Afrique, représentant environ 10% de l’ensemble du budget de R&D africain. Il est à noter que ce remède, qui risque de révolutionner le monde la médecine, est fait à base de plantes endémiques malgaches associées à du miel. Ramarovahiny fait alors appel à un laboratoire de renom pour l’appuyer dans ses recherches car selon lui, beaucoup reste encore à entreprendre avant une éventuelle commercialisation du produit.