Le parquet a annoncé l’ouverture d’une enquête après cette découverte macabre dans les toilettes de la gare de Bergerac (Dordogne).
Dans l’après-midi du vendredi 29 avril, une femme de ménage a retrouvé le corps sans vie d’un nouveau-né dans les toilettes de la gare de Bergerac (Dordogne).
Comme le rapporte le journal Le Figaro, le vice-procureur de Bergerac, Charles Charollois a affirmé que l’employée a fait cette découverte macabre dans la cuvette des toilettes pour personnes à mobilité réduite où se trouvaient également du sang et le placenta.
Le parquet de Bergerac a annoncé samedi l’ouverture d’une enquête. Selon le vice-procureur, cette investigation, confiée au commissariat de la ville a pour but de rechercher les causes de la mort du nourrisson.
"Une autopsie, prévue mardi à Bordeaux devra déterminer si l’enfant, de sexe masculin, est né vivant ou mort in utero, ce qui orientera la qualification des faits", a-t-il détaillé.
Par ailleurs, des recherches ont été effectuées auprès des hôpitaux locaux concernant une femme possiblement en détresse, mais elles restent jusqu’ici infructueuses. Le magistrat a aussi noté que la gare de Bergerac ne dispose pas de caméras de surveillance.
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