"Je suis profondément désolé pour les enfants argentins, dont la vie peut être désormais fauchée dans le ventre de leur mère avec le consentement de l’État", a tweeté mercredi 30 décembre le président du Brésil.
Le président brésilien, Jair Bolsonaro, n’a pas été tendre envers l’Argentine après la légalisation, mercredi dernier, de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) jusqu’à 14 semaines de grossesse dans le pays. Il a formulé des critiques virulentes envers en indiquant que les enfants argentins peuvent maintenant mourir avec la complicité de l’Etat.
Le président du Brésil a ensuite ajouté : "Tant que cela dépendra de moi ou de mon gouvernement, l’avortement ne sera jamais autorisé sur notre sol". Il a ensuite ajouté : "Nous nous battrons toujours pour protéger la vie des innocents", rapporte 20 Minutes.
Selon une responsable brésilienne de la santé elle, 203 Brésiliennes sont chaque année victimes d’avortements clandestins et 250 000 sont admis à l’hôpital à la suite de complications.
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