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La jeune femme de 18 ans, principale suspecte dans le projet d’attentat terroriste à Béziers (Hérault), est toujours entendue. Par ailleurs, la garde à vue de ses deux sœurs et de sa mère a été levée.
La principale suspecte est en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret, en région parisienne. Sa mère et deux de ses sœurs, également interpellées, ont été relâchées dans la matinée du mercredi 07 avril, "sans poursuite à ce stade", selon une source judiciaire, relaient Le Point et d’autres médias français. Par ailleurs, une autre de ses sœurs, encore mineure, avait été relâchée lundi soir sans poursuite également… Pour le moment en tout cas.
C’est dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 avril que les cinq femmes avaient été interpellées par la DGSI à leur domicile, dans un quartier populaire de Béziers.
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"Le projet terroriste qu’elle s’apprêtait à exécuter (était) en coordination avec des éléments" du groupe État islamique, expliquait la DGST (Direction générale de la surveillance du territoire) marocaine. Et une enquête préliminaire pour "association de malfaiteurs terroriste" et pour "détention et fabrication d’explosifs en relation avec une entreprise terroriste" a été ouverte par le parquet national antiterroriste (Pnat).
Pendant les perquisitions, un sabre et des systèmes élaborés d’engins explosifs ont été retrouvés, ainsi que plusieurs produits nécessaires à la réalisation de matière explosive.
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