L’ARS rappelle à l’ensemble des Réunionnais et particulièrement aux personnes fragiles, la nécessité de se faire vacciner sans attendre. En effet, les dernières données de la Direction de la Recherche des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques (DREES) démontrent à nouveau l’impact positif de la vaccination pour limiter les risques d’hospitalisation, de décès et de contamination.
Depuis le début de la campagne de vaccination, 408 209 Réunionnais ont reçu au moins une injection, et 316 185 Réunionnais disposent d’un schéma vaccinal complet (36,9% de la population totale).
La couverture vaccinale progresse mais reste insuffisante, notamment chez les personnes à risque de développer des formes graves de la maladie : les personnes âgées et les personnes atteintes de pathologies chroniques (diabète, obésité sévère, insuffisance respiratoire chronique, dialyse chronique).
Ainsi, l’ARS rappelle à l’ensemble des Réunionnais et particulièrement aux personnes fragiles, la nécessité de se faire vacciner sans attendre.
En effet, les dernières données de la Direction de la Recherche des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques (DREES) démontrent à nouveau l’impact positif de la vaccination pour limiter les risques d’hospitalisation, de décès et de contamination. Elle montre aussi à quel point La Réunion fait partie des régions de France les plus exposées aux risques des formes sévères de la maladie, compte tenu de l’insuffisante couverture vaccinale.
Les dernières données analysées pour la période du 26 juillet au 1e août permettent de confirmer l’impact puissant de la vaccination pour limiter les risques d’hospitalisation ainsi que de décès, voire les risques de contamination.
Ainsi, la vaccination réduit :
Ces écarts résultent des différences de proportion constatées selon le statut vaccinal des personnes :
En outre, on continue à observer un écart important sur les risques de contamination, même si le variant Delta rend moins efficace la vaccination par rapport à ce risque, que précédemment, par rapport au virus originel ou au variant Alpha (britannique).
Ainsi, sur fin juillet en France, on observe 7 fois plus de personnes testées positives pour 100 000 personnes non vaccinés que pour 100 000 personnes vaccinées.
Ces données permettent également de démontrer l’impact des facteurs de risque déjà reconnu pour l’exposition aux formes sévères de la maladie pour les non vaccinés, compte tenu de la proportion particulièrement importante à La Réunion, de certaines pathologies chroniques, telles que :
Ainsi, du 1e juillet au 9 août, La Réunion est malheureusement la troisième région de France entière pour la proportion du nombre d’admissions en réanimation, par million d’habitants non vaccinés :
- 83 entrées pour 1 million d’habitants non vaccinés contre 31 en France entière
Il en est de même pour la proportion du nombre d’admission en service de médecine Covid :
- 293 admissions pour 1 million d’habitants non vaccinés contre 100 en France entière sur la même période.
Ainsi l’écart entre La Réunion et la France entière pour le taux de recours à l’hospitalisation ces 4 dernières semaines, apparaît plus important que l’écart également constaté sur la proportion des contaminations.
Par conséquent, l’impact négatif de l’insuffisante couverture vaccinale à La Réunion (seulement 45 % de la population éligible bénéficiant d’un schéma vaccinal complet au 16 août) est d’autant plus fort que l’importance des personnes atteintes par certaines pathologies chroniques, expose aux risques de formes graves, davantage la population réunionnaise non vaccinée, que la population française dans son ensemble.
Les dernières données analysées pour la période du 26 juillet au 1e août permettent de confirmer l’impact puissant de la vaccination pour limiter les risques d’hospitalisation ainsi que de décès, voire les risques de contamination.
Ainsi, la vaccination réduit :
Ces écarts résultent des différences de proportion constatées selon le statut vaccinal des personnes :
En outre, on continue à observer un écart important sur les risques de contamination, même si le variant Delta rend moins efficace la vaccination par rapport à ce risque, que précédemment, par rapport au virus originel ou au variant Alpha (britannique).
Ainsi, sur fin juillet en France, on observe 7 fois plus de personnes testées positives pour 100 000 personnes non vaccinés que pour 100 000 personnes vaccinées.
Ces données permettent également de démontrer l’impact des facteurs de risque déjà reconnu pour l’exposition aux formes sévères de la maladie pour les non vaccinés, compte tenu de la proportion particulièrement importante à La Réunion, de certaines pathologies chroniques, telles que :
Ainsi, du 1e juillet au 9 août, La Réunion est malheureusement la troisième région de France entière pour la proportion du nombre d’admissions en réanimation, par million d’habitants non vaccinés :
- 83 entrées pour 1 million d’habitants non vaccinés contre 31 en France entière
Il en est de même pour la proportion du nombre d’admission en service de médecine Covid :
- 293 admissions pour 1 million d’habitants non vaccinés contre 100 en France entière sur la même période.
Ainsi l’écart entre La Réunion et la France entière pour le taux de recours à l’hospitalisation ces 4 dernières semaines, apparaît plus important que l’écart également constaté sur la proportion des contaminations.
Par conséquent, l’impact négatif de l’insuffisante couverture vaccinale à La Réunion (seulement 45 % de la population éligible bénéficiant d’un schéma vaccinal complet au 16 août) est d’autant plus fort que l’importance des personnes atteintes par certaines pathologies chroniques, expose aux risques de formes graves, davantage la population réunionnaise non vaccinée, que la population française dans son ensemble.
, et autres) -->