Moins d’une année après l’ouverture de la Route des tamarins, les pousses d’arbres qui jalonnent les 34 kilomètres se font périodiquement voler.
Avant la mise en service de la route, la pépinière contenait plus de 400 000 végétaux en tout genre. Une fois leur plantation à plusieurs endroits paysagers de l’axe, force est de constater qu’il en manque de plus en plus.
Des usagers viennent se servir et arrachent notamment des essences endémiques ou tout simplement hors de prix comme le tamarin ou le baobab.
Les services rattachés à la Région et en charge de la végétalisation des espaces ne peuvent que constater les vols de plus en plus fréquents.
Les patrouilles du CEX (Centre d’exploitation de la route) tentent dans leur rotation, de repérer les voleurs de végétaux, mais en vain.