Les statisticiens nationaux ont noté que l’activité économique a été soutenue par la consommation des ménages au cours des trois premiers mois de l’année. Bruno Le Maire s’est félicité du succès de la stratégie gouvernementale.
Atteindre une croissance de 1% en 2024 est-il réaliste ? Alors que l’exécutif maintient cette prévision, une récente publication de l’Insee souligne la difficulté mais non l’impossibilité d’atteindre cet objectif, note Le Figaro. Au cours des trois premiers mois de l’année, la croissance a légèrement dépassé les attentes, s’élevant à 0,2%, ce qui porte l’acquis de croissance pour 2024 à 0,5%. Bruno Le Maire a salué le succès de la stratégie gouvernementale. La consommation alimentaire, énergétique et en services des ménages, ainsi qu’un rebond de l’investissement des entreprises ont contribué à cette croissance.
Cependant, la contribution du commerce extérieur à la croissance a diminué, avec des importations et des exportations en légère augmentation. Les prévisions de différentes institutions, y compris la Banque de France et l’OFCE, sont restées prudentes, tablant sur une croissance modeste au premier trimestre et des perspectives moins optimistes que celles du gouvernement pour l’ensemble de l’année.
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Malgré les défis entre la réduction du déficit et la promotion de la croissance, Bercy maintient sa trajectoire, favorisant l’activité économique plutôt que les hausses d’impôts. Pierre Moscovici de la Cour des comptes souligne que les économies projetées risquent de perturber la croissance. Bruno Le Maire réaffirme la stratégie axée sur la croissance et la réduction des dépenses publiques.
Les chiffres de l’Insee, légèrement meilleurs que prévu, semblent conforter cette approche. Le ministre Le Maire se félicite de la progression de la croissance, affirmant que la stratégie gouvernementale est payante. "Les faits sont têtus. La croissance française progresse. C’est un nouveau signe qui traduit la solidité de notre économie. La stratégie du gouvernement est payante", a-t-il commenté.
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