Selon une étude réalisée dans un centre de traitement de l’ONG Médecins sans Frontière (MSF) au Liberia en 2014 dont les résultats sont rendus publics ce mercredi aux États-Unis, l’artesunate-amodiaquine, un antipaludéen a réduit de 31% la mortalité chez les patients contaminés par le virus Ebola.