Jean Lassalle, candidat du parti "Résistons" répond aux questions de Yolande Calichiama. Il se penche sur les défis et problématiques de La Réunion et s’engage sur plusieurs propositions pour notre île.
Jean Lassalle, candidat à l’élection présidentielle sous l’étiquette "Résistons" répond aux questions sur son programme et évoque sa vision pour La Réunion : un territoire qui peut jouer un rôle dans un plan d’accords entre la France et le Sud de l’Afrique.
Yolande Calichiama interroge le candidat à l’élection présidentielle et demande aussi à Jean Lassalle de commenter des propositions formulées par les Réunionnais sur LINFO.re.
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"Je pense que ce travail de terrain paie. Je l’espère parce qu’il est temps. Notre pays est un grand pays qui a toujours su prendre les grandes décisions lorsqu’il fallait les prendre. Et lorsqu’il ne les a pas prises, ça lui a coûté très cher."
"Nous avons perdu un peu de vous et abandonné ce fleuron de France que constituent les départements d’Outre-Mer. Je demande pardon avec un peu plus de force à La Réunion."
"Amour, révolte et j’hésite entre sublime, injustice."
"Mon livre va sortir lorsqu’on commence à s’intéresser réellement à cette campagne. Les Réunionnais y trouverons matière à réflexion sur ma volonté de rattraper ce que nous n’avons pas fait."
"Ça commence par la formation, c’est le début de l’égalité des chances. On sortira d’abord lorsqu’on aura acquis ses bases et ensuite, on accélérera mais en respectant le choix des jeunes dans l’adolescence."
"Je me méfie des Plans Marshall, en tout cas, j’ai un plan pour l’ensemble des territoires d’Outre-Mer, mais ça doit commencer par une prise de conscience de l’ensemble de notre peuple."
"Je ne suis plus certain que le problème se situe à ce niveau-là parce que nous avons beaucoup progressé. Ce qui reste à achever, c’est nous mettre d’accord sur ce qui touche les parlementaires : les immunités représentatives de fonction. Le traitement qui est versé, ça je ne supprime pas."
"Pour l’IRFM (indemnité de représentativité), là il faut éclaircir. Il y a l’enveloppe de 9 000 euros, nous pouvons récupérer trois personnels, c’est là qu’il faire un peu de lumière."
"Je ne dis pas qu’un père n’a pas le droit de faire travailler son fils ou sa fille."
"C’est un nouveau rôle à jouer pour La Réunion. C’est l’un de nos territoires qui a le plus souffert et qui est le plus marqué par la terrible histoire de l’esclavage. J’ai trouvé un sentiment profond qui donne une idée de l’immense douleur que cela a provoqué."
"J’ai prévu d’adosser mon projet pour la France sur l’Afrique. Il faut faciliter la prise en charge du destin de l’Afrique par ses enfants. Je compte beaucoup sur La Réunion pour prendre une part déterminante dans ce programme."
"Je vais accélérer le mouvement. Il y a les directives européennes qui empêchent. On a accepté des requins - dont j’ai entendu dire qu’ils avaient une tête très spéciale et qui n’étaient pas vraiment très connus. Ce qui est tragique, c’est l’absence de reconnaissance du phénomène et le fait que ça a démantelé une partie très active et très nouvelle de La Réunion : le sport nautique."
"Je pense qu’il va falloir un prélèvement massif et donner l’habitude aux requins de rester assez loin."
"Il faut discuter des crédits. Mon rôle n’est pas d’accabler un peu plus le sort des Réunionnais. Il faut au moins maintenir ce que nous faisons ou d’au moins donner les moyens aux Réunionnais de reprendre leur destin en main."
"Aujourd’hui, nos enfants en arrivent à vivre dans un monde virtuel qui engendre une certaine violence. Je dis qu’apprendre un art martial qui dit d’abord quelque chose à son propre corps parce que c’est déjà tellement ancien qu’on a pris le temps d’en prendre la mesure. C’est aussi la capacité d’apporter une force d’auto-défense."
"Nous faisons semblant d’utiliser Internet mais nous sommes sous les codes de Google et de la finance. Ils ne nous guident pas forcément dans le bon sens. Mais j’ai dans mon équipe celui qui est en train de mettre en place l’Internet français qui est plus subtil, plus intime, plus humain."
"Je me souviens de son nom. Mais elle ne m’a pas marqué tant que ça non plus."