Ce matin, un homme a tué sa mère, une fille de 5 ans. Après le choc, différentes personnalités politiques locales ont adressé leur soutien aux proches des victimes et aux forces de l’ordre.
La maire de La Possession, Vanessa Miranville, au micro d’Antenne Réunion "éprouve du chagrin pour toutes les personnes qui viennent de perdre un proche dans des conditions dramatiques". Elle ajoute qu’une cellule psychologique est en place à la mairie avant de remercier " la centaine de gendarme et des forces de l’ordre pour leur action".
Huguette Bello, présidente de la région Réunion annonce un drame " qui touche tous les Réunionnais."
Cyrille Melchior, président du conseil département condamne " ces dramatiques actes de violence et de folie emmenant l’agresseur à s’en prendre également à ces personnes innocentes dans la rue et à blesser un agent des forces de l’ordre."
Olivier Hoareau, maire du Port exprime tout son soutien "aux familles et proches des victimes. Je tiens à saluer également la mobilisation rapide et efficace des forces de l’ordre qui a permis d’appréhender l’auteur présumé des faits ".
Karine Lebon, députée de La Réunion tient à saluer les forces de l’ordre : "Leur bravoure et leurs compétences ont permis de mettre les otages à l’abri et ont évité de nouvelles victimes."
Evelyne Corbiere Naminzo, Sénatrice de La Réunion, "salue aussi la mobilisation de tous professionnels qui sont intervenus pour sécuriser et porter secours à toutes les victimes, les témoins et les proches traumatisés."
Audrey Bélim, sénatrice de La Réunion déplore les faits divers de ces dernières semaines : "Nous ne voulons plus de violences.Nous ne voulons plus entendre que des victimes innocentes décèdent ou soient blessées parce que nous n’avons pas vu, ni entendu le mal qui ronge les auteurs".
Même son de cloche du côté du sénateur Jean Hugues Ratenon : "Nous ne pouvons que constater que les faits de violences se produisent de plus en plus dans notre société Réunionnaise de plus en plus violente."
Stéphane Fouassin, sénateur de La Réunion ne peut que "réprouver les actes tragiques de violence et de démence qui ont conduit l’agresseur à s’en prendre à des personnes innocentes dans la rue, ainsi qu’à blesser un agent des forces de l’ordre.”
Erika Bareigts, maire de Saint-Denis se sent "très touchée par ce drame qui frappe notre île et qui nous rappelle le climat de violence que nous connaissons actuellement."