"Il est libre parce que c’est une personne célèbre", déplore le conducteur de la voiture percutée par Pierre Palmade

"C’est irrespectueux, c’est impoli"

Actuellement, le fils de Yuksel Yakut est traumatisé et sa belle-sœur Mila continue de souffrir de manière dévastatrice de la perte de son bébé. Lors de son passage sur BFMTV le 12 juillet 2023, Yuksel Yakut a soulevé des interrogations quant à la décision de la justice française de remettre en liberté, sous contrôle judiciaire, Pierre Palmade. Dans des propos retranscrits par d’autres médias comme Pure People, il a dit : "ce monsieur a joué avec la vie de 4 personnes. Quand je l’ai vu s’amuser en discothèque, j’ai pensé à tout ce qu’il a fait subir à Mila, à mon enfant et à moi. C’est irrespectueux, c’est impoli, il n’a aucune conscience".

"Il est libre parce que c’est une personne célèbre. Ça me rend malade qu’il soit en liberté, et à mon avis, l’État français est aussi responsable", a-t-il continué. Et "les juges, les procureurs qui s’occupent de ce dossier devraient se mettre à ma place. Comment ils réagiraient, eux ?".

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Qu’en est-il de Pierre Palmade ?

Avant sa volontaire admission à l’établissement médical le 23 juin 2023 en vue d’une réhospitalisation dans un service spécialisé pour le traitement des dépendances, Pierre Palmade a discrètement séjourné chez sa sœur, dans sa résidence à proximité de Bordeaux, d’abord pendant le week-end, puis pendant deux semaines. Les conditions de sa mise en liberté sous surveillance ont été assouplies. Il lui est toujours strictement interdit de conduire, de communiquer avec les victimes de l’accident ou de rencontrer les passagers de son véhicule.

Par ailleurs, l’humoriste déchu doit continuer à s’occuper de sa dépendance aux substances illicites, sans pour autant être contraint à une hospitalisation forcée. Il convient de souligner que Pierre Palmade est actuellement mise en examen pour les infractions d’homicide et de blessures involontaires’ et qu’il est donc soumis à un contrôle judiciaire, les autorités judiciaires ayant estimé que son état de santé ne permettait pas sa détention.

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