Après avoir fait une découverte poignante sur la vie après la mort, Stéphane Allix a sorti un ouvrage intitulé "Le Test, une expérience inouïe : la preuve de l’après-vie". Le journaliste y détaille le résultat de 15 ans de recherches autour de la mort.
À sa sortie, l’ouvrage de Stéphane Allix a enregistré des records de ventes en France. Le journaliste qui a fait une découverte sur la possible vie après la mort a compilé les propos des médiums et beaucoup d’informations coïncidentes. Interrogé par Kernews, le fondateur de l’INREES ou de la série "Enquêtes extraordinaires" sur M6 a partagé l’aboutissement de ses recherches.
Des preuves scientifiques et médicales
Après la mort de son père, il a tenté de comprendre des choses qu’il ne comprenait pas. C’est en effectuant le test avec les médiums que Stéphane Allix a réalisé l’existence d’une vie après la mort et la possibilité pour les humains de communiquer avec les défunts. "Je suis détendu, je sais où est mon père, je sais où sont les autres défunts… La richesse de notre société, c’est de pouvoir s’acheminer sur un cheminement rationnel et cartésien, tout en explorant les questions qui sont laissées à l’abandon", a-t-il expliqué. Alors qu’il évoque la possible relation avec les morts, le journaliste défend sa thèse par des études médicales et scientifiques prouvant qu’il ne s’agit pas d’hallucinations ou de problème cérébral. "La prémonition ou la télépathie sont des phénomènes qui mettent en avant les mystères de notre conscience et cela montre que l’espèce de certitude sur laquelle notre société vit – c’est-à-dire que notre cerveau fabrique notre conscience et, quand il est mort, il n’y a plus de conscience – est fausse", a détaillé le journaliste.
L’enfer et le paradis
Dans son ouvrage intitulé "Le Test, une expérience inouïe : la preuve de l’après-vie", Stéphane Allix rassure de manière très angélique qu’il ne faut pas craindre la mort, mais aussi le bonheur d’apprendre que ses proches vont très bien. Questionné sur l’existence de l’enfer et du paradis, le journaliste a répondu que selon lui, le monde des morts est une transposition du monde des vivants. Il a expliqué qu’à Sedona, en Arizona, le paradis est à portée de main tandis qu’à Alep, c’est l’enfer… "Je pense que dans le monde des morts, on est dans le même état. Ces gens qui ont été vivants ont été pour certains des criminels absolus, d’autres avaient le souci de faire le bien autour d’eux", a-t-il expliqué en citant Hitler et Gandhi. "Ces personnalités se retrouvent de l’autre côté et elles colorent le monde de l’au-delà des mêmes travers et des mêmes qualités que le monde des vivants", a-t-il ajouté. En ce qui concerne les expériences effrayantes, Stéphane Allix n’est pas convaincu que les gens sont propulsés en enfer, c’est uniquement la manière de vivre cette expérience qui leur horrifie.
Comment mourir en toute sérénité ?
Pour autant, Stéphane Allix considère les religions comme intéressantes dans la mesure où elles donnent des grilles de lecture différentes, mais elles n’ont rien à voir avec la spiritualité. Dans une interview accordée à francedimanche.fr, il a expliqué que "le but de l’existence n’est pas la recherche du bonheur ou de la richesse, mais une quête de sagesse et d’apaisement, au travers des épreuves auxquelles elle nous soumet, afin de mourir en toute sérénité". Le journaliste reste convaincu que les hommes évoluent toujours après leur mort et il existe constamment une liaison entre notre monde terrestre et ce monde immatériel. L’auteur du livre "Le Test, une expérience inouïe : la preuve de l’après-vie" a souligné que son étude est une enquête journalistique, mais non religieuse. Cacher des objets dans un cercueil et demander au défunt de les dire à des médiums relève selon lui d’un procédé cartésien et rationnel. Enfin, il a déclaré que le mystère de Dieu reste inaccessible à la raison. "Ce que l’on peut examiner scientifiquement, c’est savoir si les morts sont quelque part et si l’on peut communiquer avec eux. Je le prouve par A+ B", a-t-il conclu.
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