Ce mercredi, les députés et sénateurs français ont débattu sur une éventuelle intervention en Syrie, sans être amenés à voter. Le Premier ministre J-M.Ayrault a demandé aux députés d’assumer leurs responsabilités.
Dès 18h00 (heure de La Réunion), le président Claude Bartolone s’est installé au perchoir afin d’ouvrir le débat en donnant la parole à Jean-Marc Ayrault.
Le Premier ministre a donc entamé son discours en évoquant en tout premier point le massacre du 21 août, au cours duquel "des centaines d’enfants sont morts assassinés dans leur sommeil par le régime syrien. Il affirme que cette attaque est le "plus massif et terrifiant usage de l’arme chimique en ce début de siècle".