Toujours hospitalisé, le meurtrier présumé d’Alexandrine a été mis en examen mardi 31 juillet, depuis sa chambre d’hôpital. Poursuivi pour le meurtre de sa conjointe - Alexandrine -, il sera transféré à la prison de Domenjod dès que son état de santé le permettra. Il affirme avoir agi pour se défendre après avoir reçu un premier coup de couteau.
Le 16 juillet dernier, Alexandrine a été mortellement poignardée le dans un appartement au Chaudron. L’auteur présumé des coups de couteau est son compagnon. L’homme aurait retourné l’arme contre lui et il a tenté de mettre fin à ses jours avec une surdose d’insuline.
Le père de famille est sorti du coma la semaine dernière et il a ensuite été placé en garde de vue le 30 juillet, depuis son lit d’hôpital et entendu par les enquêteurs.
Ses jours étaient un moment en danger mais son état s’est depuis amélioré.
Son avocat explique que l’homme regrette son geste. Ils ont eu une petite fille ensemble. Le 16 juillet, Patrick L-K a commis l’irréparable après une violente dispute. Mais il affirme avoir voulu se défendre après avoir reçu un premier coup de couteau.
L’avocat de Patrick L-K affirme que son client a réussi à s’emparer du couteau après avoir reçu un premier coup. Selon lui, il s’agit d’une acte de légitime défense.
Hier après-midi, le Procureur de La République s’est rendu à l’hôpital avec le juge d’instruction en vue de la mise en examen de Patrick L.-K. Poursuivi pour le meutre de sa compagne, cet homme sera donc transféré, dès que son état de santé le permettra, derrière les barreaux de la prison de Domenjod.
Ce drame conjugal remonte au lundi 16 juillet dernier. En pleine journée, alors que leur fille était au centre aéré, le quadragénaire a mortellement poignardée sa compagne âgée de 42 ans. Diabétique, il a ensuite tenté de mettre fin à ses jours avec une surdose d’insuline.