5G : Huawei a assuré être prêt à signer des accords de "non espionnage"

Des suspicions à l’égard de Huawei

Pour rappel, les Britanniques envisagent de faire participer Huawei pour la mise en place d’infrastructures 5G sur son sol. De son côté, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a mis en garde le Royaume-Uni quant à la "sécurité de son réseau mobile".

Quant à l’exécutif américain, il a enjoint ses agences à ne pas faire l’acquisition d’équipements de Huawei. Les Américains craignent que Pékin ne parvienne à avoir accès aux infrastructures essentielles du pays et se mettre à espionner leurs communications.

Réaction de Huawei

Huawei a réagi à l’action de Washington qui tente de persuader des pays européens à ne pas travailler avec le constructeur chinois pour le déploiement du 5G sur leur territoire.

À l’occasion d’un point de presse, le président de Huawei, Liang Hua a souligné que son groupe était "prêt à signer des accords de non espionnage avec les gouvernements, y compris le gouvernement britannique". Il a aussi déclaré être prêt à "s’engager à ce que les équipements respectent les normes en matière de non-espionnage", rapporte Le Figaro.

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