La décision des 27 pays européens sur la rupéisation de Mayotte n’a pas été rendue comme prévu le vendredi 29 juin, lors d’une réunion à Bruxelles.
La question sera probablement réexaminée aujourd’hui et demain au Conseil européen. La délégation mahoraise conduite par le président du Conseil général Daniel Zaïdani, est toujours sur place.
Ce responsable a indiqué qu’il reste très optimiste quant à l’aboutissement de ce dossier malgré ce léger contretemps. Un ajournement qui serait causé en partie par « un retard dans les délais d’envoi de la saisine des Parlement nationaux par les instances communautaires », selon Malango.
L’avis négatif émis par certaines personnalités de l’île à travers une lettre adressée récemment aux députés européens a été sans doute pour quelque chose.